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À l’intérieur, Lauriana discutait à bien voix basse avec une cliente d’âge mûr, qui semblait secouée par des sanglots retenus. Sur un regard d’Anaïs, martine s'aperçut qu’elle devait tergiverser discrète. Elle s’installa dès lors dans un point, auprès d’un seul autel décoré de bougies. La femme en pleurs finit par se modérer, puis remercia Lauriana avec une gré visible. « Je reviendrai, c’est dans la certitude de », murmura-t-elle avant de provenir la débit. Élodie sentit sa attention attrouper en flèche, mais elle respecta le silence qui régnait. Lorsqu’elles se retrouvèrent seules, Lauriana la rejoignit. « Je te sentais agitée ce soir », confia-t-elle, comme si elle avait deviné le souci d’Élodie évident même son arrivée. « Qu’y a-t-il ? » La jeune femme hésita, puis raconta ses tourments : son sentiment endurant d’un match pendants, ses insomnies, et la certitude d’une présence pesante à proximité d’elle. Lauriana écouta méticuleusement, en silence. « Parfois, l’ouverture spirituelle nous rend plus sensibles, presque vulnérables, à bien des influences que nous n’avions jamais perçues premier plan », expliqua-t-elle d’un accentuation rassurante. « Il est en capacité de s’agir d’empreintes émotionnelles rattachées à une narration passé, ou de phobies non résolues qui refont surface. » Anaïs, secourant de la scène, proposa de confectionner un seul tic protecteur. Elle alla ramasser un bol sculpté, y versa de l’eau de transparence, puis y déposa deux ou trois gouttes d’huiles essentielles sacrées. Lauriana, de son côté, alluma une cigare blanche et plaça un piquet de sauge autour. « Ferme les yeux, sophie, et concentre-toi sur ta inspiration. » La voix de Lauriana, alternative et posée, invitait à bien la sureté. marie sentit l’air se apprêter d’un parfum subtil alors que la sauge se consumait, nettoyant symboliquement toute énergie dommageable. 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